Description

Résumé de l’article

Dans cette étude 14 personnes volontaires furent soumises à des tests d’imagerie cérébrale pour identifier les variantes d’activité cérébrale selon que leur chien était présent, sans interaction avec lui, ou absent.

L’état psychologique était mesuré par le « stress-response scale ».

L’analyse de l’ensemble des données indique les personnes étaient plus détendues, psychologiquement parlant, lorsque le chien était présent.

Cette approche expérimentale pourrait se révéler un outil utile pour explorer les mécanismes cérébaux impliqués dans le bien-être psycho-physiologique associé à la relation entre l’homme et l’animal.