L’enfant et les animaux familiers

Description

Résumé de l’article

La présence des animaux peut atténuer les souffrances et les peurs.

Chez les enfants qui relèvent de la psychiarie et les polyhandicapés, l’établissement d’une relation avec un animal familier s’accompagne d’une atténuation ou d’une non-manifestation des signes habituels d’insécurité affective c’est-à-dire l’orientation du regard et du corps en direction du partenaire animal, l’acceptation et l’initiation d’interactions proximales et de contacts corporels, le sourire et les autres comportements affiliatifs. Il faut donc envisager la présence d’animaux familiers dans les différents lieux de vie, d’éducation et de soins des êtres humains qui sont enfermés dans leurs souffrances, leurs peurs ou leurs difficultés relationnnelles et psychiques, ou qui ne parviennent pas à les dépasser(vernay, 2003 ; Pelletier-Milet, 2004). Plus ordinairement, le contact soutenu avec un animal familier peut avoir des effets apaisants, anxiolytiques et sécurisants chez l’enfant qui vit un évènement déstabilisant, tel qu’un décès ou une recomposition familiale.

Informations complémentaires

Sous-titre

Un exemple de rencontre et de partage des compétences spécifiques et individuelles

Auteur

Hubert Montagner

Périodique

Enfance et psy

Numéro de volume

35

Localisation du périodique

En rayon, Centre de Documentation

Date de réception

15/03/2010

Localisation de l'article

Centre Documentation

Cote

I-C