Description

Résumé de l’article

De nombreuses études ont mis en évidence l’effet bénéfique induit par la présence animale pour tout individu et quelques études se sont attachées à mesurer cet effet pour les personnes âgées, mais à ce jour, aucune étude n’a traité de l’influence de présence animale sur les personnes seules plus généralement.

A partir d’un groupe de personnes vivant seules (des non possesseurs et des possesseurs de chiens ou de chats ), la présente étude a voulu démontrer que la possession animale (ou non), le niveau d’attachement à l’animal et le réseau social pouvaient interagir et être des indicateurs pour mesurer le niveau de stress ou de dépression.

Les résultats ne montrent pas que la possession ou la non possession d’un animal puisse être prédictive de l’état psychologique chez les personnes vivant seules. Toutefois, lorsque l’on croise l’interaction liée à l’attachement et l’influence du réseau social pour mesurer l’état psychologique, il s’avère que chez les possesseurs avec peu de réseau social et un très grand attachement à l’animal les indicateurs prédictifs de solitude et de dépression sont plus présents. https://fondation-apsommer.org/doc/wp-content/uploads/sites/7/2018/05/an-examination-of-the-potential-role-of-pet-ownership-human-social-support-and-pet-attachment-in-the-psychological-health-of-individuals-living-alone.pdf