Hugues AUFRAY: “Que dire de plus beau et de plus vrai que ce qu’exprime par son message mon ami Jérôme Garcin ! Je dois confier pourtant que c’est le cheval qui a permis au petit garçon hyper gaucher et dyslexique que j’étais de s’intégrer à la société. C’est en 1940, à l’École de Sorèze, collège réputé pour sa tradition équestre, que j’ai rencontré cet animal merveilleux… Et que nous nous sommes mutuellement adoptés. Durant quatre années, en remportant tous les premiers prix d’équitation, j’ai trouvé la confiance qui me manquait pour affronter l’école, les études…
La vie!
Lorsqu’adulte, je pus renouer avec ma passion d’enfant, je fus – je le dis avec beaucoup de modestie – l’un des tout premiers à faire tomber les barrières séparant les disciplines équestres, et à faire se rencontrer ceux qui ne se parlaient pas. Aujourd’hui, « l’oecuménisme » que je préconisais a rassemblé les « chapelles ennemies ». Juste retour des choses, le cheval auquel l’humanité doit tant, a trouvé une place nouvelle et prépondérante, devenant un allié thérapeutique précieux. Compagnon d’évasion, de rêve et de liberté, il restera toujours pour moi un partenaire idéal… Auquel je resterai toujours fidèle!”